mercredi 16 mai 2007

Platon et la crise des banlieues

Petit rappel utile pris sur le blog de Serge Hefez :
« Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien et de personne, alors c’est là en toute beauté et en toute jeunesse le début de la tyrannie. » -- Platon

2 commentaires:

  1. Épatant ! comme la redécouverte de l’eau qui mouille, de l’eau chaude ou de l’eau à la grenadine.

    La faute à qui, hein ?

    Que les soixante-huitards et autres archéo-gauchistes qui traînent encore leurs guêtres crasseuses dans des torchons comme Libé, Le Monde ou Le Nouvel Obs balaient devant leur porte les gravas de leurs déconstructions tous-azimuts et de leurs délires confuso-oniriques.

    Merde aux bisounours utopiques et aux beni-oui-oui progressistes.

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  2. et bien voila d'ou il vient le probleme. au lieu d'écrire des livres , ils auraient mieu fait de matter leur jeunes du temps de platon.
    maintenant, on en paye les conséquences.

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