Et le monde, autour de mon (très beau, toutes les personnes qui l'on vu et qui ont exprimé une opinion valable sont unanimes) nombril?
Bien, si les mots "néo-darwinisme" et "hopeful monster" n'évoquent rien pour vous, faites une petite cure d'éducation et ne revenez qu'ensuite pour cliquer sur ce lien.
Des chercheurs de l'Université Purdue (Indiana) viennent de mettre en évidence, chez une petite plante (Arabidopsis), une capacité à éliminer ses mutations qui, dans 10% des cas, disparaissent à la 3e génération.
Le modèle proposé explique qu'un back'up de l'information génétique est faite sur un RNA auquel une 'machinerie' ferait régulièrement appel pour s'assurer la pérennité du DNA nucléaire en restituant les séquences altérées lors des générations précédentes. Enfin, c'est une explication possible, rien n'ayant été mis en évidence pour expliquer ce phénomène renversant.
Si ça ne vous met pas sur le cul, c'est que vous n'avez pas suivi mon conseil préliminaire. Tant pis pour vous...
report | Material Matters: the new world of novel substances
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— the report — Dear readers, Today’s novel materials are crafted in modern
labs, with innovations in molecule-level engineering. As our knowledge of
nature...
..."La détermination de la séquence complète du génome d'une plante constitue une étape majeure dans les sciences biologiques, et assure les bases de recherches dans d'autres domaines liés aux plantes ou à d'autres organismes. De façon surprenante, il se pourrait que les gènes de plantes aient plus de points en commun avec les gènes de l'homme que ces derniers avec les gènes d'autres organismes. L'analyse d'une région de même taille du génome humain, le chromosome 22, a montré la présence de 545 gènes, démontrant de façon spectaculaire que le séquençage du génome d'Arabidopsis concentre une très grande quantité de données, disponibles pour la recherche. Comprendre comment un gène fonctionne chez l'homme pourrait donc -dans un avenir encore lointain-, aider à comprendre comment un gène fonctionne chez la plante et réciproquement..."
RépondreSupprimerun article est paru sur ce sujet la semaine dernière dans "science et avenir"... pas assise sur le cul pour autant, mais j'ai quand même pensé aux découvertes paléontologiques de ces dernières années infirmant les théories évolutionnistes