Six, cinq, quatre, trois, deux, un et uneEt je me souviens d'avoir pensé de ces phrases, de cette musique et de ce film magique (au sens premier de ce terme galvaudé) qui les a réunis, d'avoir pensé qu'ils seraient désormais part de moi-même. Ce qu'ils sont devenus.
Mon oiseau a perdu ses plumes
Plumes de bois, plumes de fer
Nous nous retrouv'rons en Enfer.
Plumes de fer, plumes de bois
Le Paradis est pour le Roi.
report | Material Matters: the new world of novel substances
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— the report — Dear readers, Today’s novel materials are crafted in modern
labs, with innovations in molecule-level engineering. As our knowledge of
nature...
Salut!
RépondreSupprimerMoi aussi, j'ai adoré cette comptine. Ne savez-vous pas, par hasard, d'où elle vient?
Olga
C'est André Delvaux lui-même qui l'a écrite pour son film... et c'est sa propre fille qui la chante. Pour en comprendre le sens, il est utile de voir le film et de savoir de quel livre il est tiré ;-)
RépondreSupprimerMerci! Quand je regardais le film, j'ai pensé que c'était une comptine authentique "ésoterique" et je me demandais depuis ce qu'elle voulait dire.
RépondreSupprimerAvez-vous vu cela?
RépondreSupprimerhttp://www.cs.kuleuven.ac.be/~peterk/pdf_files/bray.pdf
Olga